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Noël : des livres à lire (et à rêver) en famille !

Qui dit Noël, dit sapins scintillants, flocons de neige et récits enchanteurs ! Voici une sélection de titres Grasset-Jeunesse rien que pour vous !

Dans ce grand album où souffle le vent de liberté de l’enfance et de la vie sauvage, nous suivons l’amitié intense qui lie une petite fille et un tigre depuis toujours. Et lorsque la vie les séparera, ils n’auront de cesse de se chercher, espérant se retrouver et enfin, ne plus se quitter…

À travers leur histoire, on peut lire celle de la naissance, de la vie, de la quête de soi malgré les diktats sociaux, de l’identité et de l’amour si précieux que rien ne peut briser…

 

ON EN PARLE ! ● @lecartabledemrchristophe : « Un album fort et beau qui véhicule une émotion intense entre une petite fille et un tigre. Un magnifique livre-cadeau au message puissant à découvrir et à partager. 🤓💖 À travers leur histoire, on peut lire celle de la naissance, de la vie, de la quête de soi malgré les diktats sociaux, de l’identité et de l’amour si précieux que rien ne peut briser… » ●  À vos marques tapage : « Une histoire magique, habillée de mots poétiques et d’illustrations de toute beauté, qui suscitera de profondes réflexions et de belles émotions à vos p’tits loups. Magnifique !!! A partir de 4 ans. » ● @delartetdeshistoires : « Un album qui m’a beaucoup touchée, à plusieurs niveaux de lecture. Qui ose encore dire que la littérature jeunesse est exclusivement réservée aux enfants ? » ●


Les larmes du Tigre, d'Agnès Domergue & Sande Thommen
Les larmes du Tigre, d'Agnès Domergue & Sande Thommen

Indignée, révoltée, libre, ainsi était Gisèle Halimi dès sa plus tendre enfance ! Incarnée ici par une héroïne d’une modernité criante, cette boule d’énergie et de volonté nous embarque avec elle, à travers une dizaine de saynètes découpées en trois pages chacune, pour aborder les thèmes de l’injustice, du choix, du consentement, du savoir, des études, de la condition féminine…

Soutenu par un traitement graphique et narratif modernes et enlevés, cet album BD, qui réunit les savoir-faire et les talents de Sandrine Bonini et d’Annick Cojean, est à mettre sans réserve entre toutes les mains !

Une version BD pour les 8/10 ans, dans la veine des célèbres Culottées de Pénélope Bagieu ! Un traité universel, une héroïne attachante et percutante ; des histoires inspirées de la vie de Gisèle Halimi qui parleront aux pré-ados d’aujourd’hui.

 

ON EN PARLE ! ● Librairies Les Sandales d’Empédocle : « Un album pétillant, vivant, la révolte pulse des pages, mais surtout l’intelligence et la logique du propos. La construction de l’album et les illustrations sont aussi pour beaucoup dans le plaisir qu’on rencontre à dévorer cette BD. Intelligent, vif, brillant : pour faire connaître aux filles mais aussi surtout peut être aux garçons cette petite fille formidable qui deviendra une grande dame du barreau. On adore. » ● Libération : « Gisèle Halimi à hauteur d’enfant. Gisèle lutte aussi pour s’approprier la narration de la bande dessinée. Présent et passé semblent se confondre dans cet ensemble orange, rose et noir, car la lutte continue aujourd’hui. Aux jeunes lecteurs de prendre la relève. » ● Opalivres : « Sandrine Bonini a réussi, grâce aux textes acides et aux dessins virulents, à rendre un bel hommage à cette grande dame qu’est Gisèle Halimi (1927- 2020). Ses combats, ses prises de position, son indignation ont permis de combler un peu plus le fossé qui stigmatise la condition féminine dans de trop nombreuses sociétés. Une manière ludique d’aborder un thème sérieux (l’égalité hommes/femmes) à travers un beau portrait de femme. Un coup de cœur d’Opalivres ♥ ! » (Sélection du mois de décembre et de 2024) ● @bonjour__mercredi : « Un dessin plein de peps, des couleurs vitaminées pour retranscrire le punch d’une gamine perspicace et déterminée. Cette BD est géniale car elle met les points sur les i en matière d’égalité. Oui le monde n’est pas juste mais ne soyons pas résignés, agissons comme Gisèle.. » ●


Moi, Gisèle, de Sandrine Bonini & Annick Cojean
Moi, Gisèle, de Sandrine Bonini & Annick Cojean

14 ans après sa parution, Le Yark est incontestablement devenu un classique ! Lauréat de nombreux prix, traduit dans une quinzaine de pays, ce roman au style inimitable continue de séduire les enfants, les parents et les enseignants. La qualité du texte comme des illustrations en font une pépite aussi intelligente que drôle et délicate.

Pour célébrer son anniversaire, le voici ici présenté dans un format plus généreux, agrémenté de lettrines et accompagné d’une illustration de Laurent Gapaillard en tiré à part cadeau.

Une édition collector à offrir ou s’offrir sans hésitation !

 

ON EN PARLE ! ● France Net Infos : « Un beau livre, comme un cadeau, pour découvrir ou redécouvrir ce conte fabuleux, sombre et effrayant, mais aussi élégant et délicat. » ● Sir this and lady that : « Le Yark appelle à la tolérance, au respect et encourage au dépassement de soi pour atteindre la cerise sur le gâteau : l’Amitié ! » ● @escalelivres : « Un incontournable pour ma bibliothèque jeunesse, on a plongé dans l’ambiance de ce conte dont on ne voulait pas fermer la dernière page. » ● Lu Cie & Co : « Un texte de qualité et des illustrations expressives qui rappellent Gustave Doré. » ●


Le Yark Collector, de Bertrand Santini
Le Yark Collector, de Bertrand Santini

Cette histoire commence comme un conte enchanteur aux confins des royaumes, là où vit une petite fée quelque peu… distraite. Hélas, trois fois hélas, se sentant oubliée de tous, elle s’empare de la lune, de Saturne, du soleil… et même de Vénus ! Rien de mieux pour pimenter un peu sa vie et s’amuser ! Abracadabra, en quelques coups de baguette magique, les hommes se retrouvent dans un sacré pétrin : comment vivre sans rêves, science, sagesse et amour… ?

Ce nouvel album de Maxime Derouen, parfois proche de la BD et empreint d’une philosophie essentielle, nous rappelle l’importance de préserver les fondements nécessaires à notre humanité et de maintenir l’harmonie dans nos vies, en accord avec ce qui nous entoure.

 

ON EN PARLE ! ● Bruxelles Culture : « Voilà un ouvrage intelligent qui, sous le sceau de la fantaisie, appelle des réponses évidentes. Une lecture qui d’emblée plaira aux enfants sages et à ceux qui le sont moins. Un cadeau idéal. » ● Librairies Les Sandales d’Empédocle : « Connaissez vous l’origine des étoiles filantes et des voeux que nous faisons à chaque passage ? ❤️❤️❤️❤️❤️ Un album magnifique, une histoire superbe : on fonce. » ● @naellebooks : « 💫Une magnifique histoire poétique, un peu philosophique, qui permet d’évoquer de manière subtile l’importance des fondements de notre humanité, et qui nous permet de vivre en harmonieusement (même si bon parfois, quand on voit l’actualité, on se dit que la petite voleuse de planètes n’a pas cessé de jouer 😳). On aborde aussi le système solaire et ses acolytes, l’astrophysique n’a plus de secrets pour nous 🪐 » ●


La petite voleuse de planètes, de Maxime Derouen
La petite voleuse de planètes, de Maxime Derouen

Encore ce 24 décembre ! Encore la neige ! Le froid ! Le gel ! Brrr… Notre Sacré Père Noël ronchon préfèrerait de loin pouvoir prendre des vacances bien méritées plutôt qu’affronter cette longue nuit d’hiver… C’est l’envers du décor, décrit avec un humour irrésistible.

Best-seller international depuis sa première publication en 1974, chef d’œuvre du grand Raymond Briggs, Sacré Père Noël est devenu un classique. Il se transmet de génération en génération, sans prendre une ride.

Né en Angleterre en 1934, Raymond Briggs s'est imposé comme l’un des auteurs illustrateurs pour la jeunesse les plus reconnus au monde. Si Raymond Briggs fait figure de référence, c’est en partie parce que ses œuvres ont le pouvoir de traverser le temps, tel les personnages d’Ethel & Ernest, inspirés de ses parents, que l’on voit survivre stoïquement aux événements historiques qui ont bouleversé le XXe siècle.

Dans ses albums, qui font s’alterner succession de vignettes et pleines pages époustouflantes, comme dans le magnifique Bonhomme de neige, la rencontre et l’amitié sont des thèmes centraux. C’est ce lien indéfectible et précieux entre deux êtres que l’auteur a également su bâtir et consolider au fil des années avec chacun de ses lecteurs.


L'Intégrale du Sacré Père Noël, de Raymond Briggs
L'Intégrale du Sacré Père Noël, de Raymond Briggs

La Sorcière du placard aux balaisLa Fée du robinetLe Diable aux cheveux blancs… Plébiscités par les enfants comme par les adultes, les contes de Pierre Gripari sont devenus de véritables classiques de la littérature jeunesse. Depuis leur première parution il y a trente ans, leur magie continue d’opérer sur chaque nouvelle génération.

Grasset-Jeunesse rend hommage à ce formidable conteur à travers la réédition des célèbres Contes de la rue Broca illustrés par Claude Lapointe.

Les Contes de la rue Broca et les Autres contes de la rue Broca regroupés pour la première fois chez Grasset-Jeunesse. Un faux carré pour retrouver les ambiances et leformat original des pleines pages réalisées par Claude Lapointe,une couverture avec dos effet toilé et une maquette éléganteet moderne font de ce titre phare de Pierre Gripari un album cadeau incontournable, à la fois traditionnel et actuel.


Contes de la rue Broca : l’intégrale, de Pierre Gripari et Claude Lapointe
Contes de la rue Broca : l’intégrale, de Pierre Gripari et Claude Lapointe

Le coup de foudre amoureux, Les bonjour des mauvais jours, Ode à la distraction, La révolution des enfants… 6 histoires sont à reconstituer grâce à un système de cartes de couleurs avec découpes à placer sur les pages d’un leporello recto-verso graphique et coloré, isolant des éléments graphiques en les accompagnant d’un texte que l’on découvre ainsi.

Une façon inédite et ludique d’explorer les multiples facettes des habitants d’une ville, leurs pensées, leur individualité, en reconstituant leurs histoires comme dans un jeu de piste ; cette expérience peut même être prolongée en créant ses propres cartes et en inventant ses propres histoires…

Un livre accordéon immersif et graphique qui reflète le dynamisme d’une ville et la diversité des personnes qui la peuplent.

 

ON EN PARLE ! ● Bruxelles Culture : « Ces cartes explorent les thèmes de l’individualité dans la cité, de l’identité et du genre pour découvrir ou redécouvrir de manière inédite et récréative les multiples facettes des habitants d’une métropole, leurs pensées et leurs intérêts en reconstituant leur quotidien comme dans un jeu de piste. Cette expérience peut même être prolongée en créant ses propres cartes et en inventant ses propres aventures. » ● Librairies Les Sandales d’Empédocle : « Très gros coup de cœur pour l’objet dans sa pochette, pour les textes, pour la construction et toutes les surprises qui nous attendent. Enthousiasment ❤️❤️❤️❤️❤️ Frais, malin, sorti des sentiers battus, un travail d’édition comme on les aime qui tire vers le haut et nous enthousiasme. » ● À vos marques tapage : « Des histoires qui feront indubitablement voguer l’imagination de vos p’tits loups, tout en leur offrant toutes sortes de réflexions sur la nature humaine ! Tant au niveau de son concept d’une vivifiante originalité, que par la poésie teintée d’humour qui en émane, ce livre-jeu est tout simplement magique !!! A partir de 6 ans. » ●


Vivre la ville, de Pauline Ferrand
Vivre la ville, de Pauline Ferrand

Quand on donne chacun voix
aux sentiments que l’on ressent,
les yeux de l’autre
sont de petits miroirs
qui brillent
comme au soleil après la pluie…

Dans ce grand album empreint de douceur et de poésie, nous retrouvons les personnages des albums Émerveillements et Après les vagues.

La découverte de la vie et du monde se poursuit, à travers soi et à travers l’autre, jusqu’à parvenir à s’écouter, se comprendre, et partager.

 

ON EN PARLE ! ● @librairiedescanuts : « Un gros coup de cœur pour ce nouvel album jeunesse de Sandrine Kao. Tout est d’une douceur infinie. Les illustrations aux crayons de couleur sont sublimes. L’univers est coloré, moelleux, doux. On a envie de s’y plonger. Le texte est aussi très très beau. Tout en poésie, il nous parle d’un petit personnage qui apprend à faire de la musique. Ce n’est pas évident : il va échouer, s’énerver, se déconcentrer, douter, perdre confiance… Mais à chaque fois, il va trouver un moyen de s’en sortir, avec de l’aide, du recul et en restant lui-même. » ● Axel, Fnac Montparnasse : « COUP DE COEUR. Un joli album qui traite des sentiments et émotions qu’un enfant peut ressentir telle que la motivation, le réconfort, l’abandon, la jalousie… Les illustrations très largement inspirées des pays de l’Asie de l’Est sont sublimes et ajoutent une touche de poésie très agréable ! » ● Mya books : « C’est un album déculpabilisant qui fait du bien et redonne confiance en soi. Parce qu’il ne faut pas avoir peur de se tromper, de changer de voie, d’admettre que l’on a eu tort. Parce que les choses ne vont pas toujours dans le sens que l’on voudrait. Parce qu’à trop vouloir donner le meilleur de nous-mêmes on peut parfois s’oublier, s’épuiser. C’est un livre plein d’optimisme qui encourage à s’écouter et qui redonne espoir. J’ai beaucoup aimé le choix des mots, la sensibilité du texte et cette proximité avec la nature que l’on retrouve dans les albums précédents. Les illustrations sont, elles aussi, très douces et poétiques. C’est un voyage enchanteur que nous offre Sandrine Kao. Un envol à travers le monde mais aussi à la découverte de soi-même. Une jolie découverte, une petite parenthèse salvatrice et rafraîchissante. » ● Opalivres : « Un album tout doux, intimiste et un peu philosophique, à découvrir par petites touches, qui invite le lecteur à ressentir, et à faire des ponts entre les situations décrites et celles vécues. » ● La page des libraires : « Rêveries est un livre délicat qu’on a envie de partager en le lisant à voix haute (mais en parlant tout bas !) et qu’on savoure ensuite en fermant les yeux. » ●


Rêveries, de Sandrine Kao
Rêveries, de Sandrine Kao

Apparaître ou disparaître, tout peut arriver, dans un livre. Tout ? Même un véritable tour de magie ?

Ce livre interactif inspiré des livres de genre imaginés depuis le XVe siècle propose un tour bluffant ; parviendras-tu à dénouer les mécanismes de cet album addictif pour devenir toi aussi un peu magicien ?

Pour l’instant, entre donc, et laisse Lady Rabbit lire dans ton esprit ! Prêt à jouer ? Le spectacle va commencer…

 

ON EN PARLE ! ● @des_images_pour_etre_sage : « Une merveille d’humour et d’ingéniosité dans des tons tendres et un graphisme adorable à souhait. Et quel bonheur de voir les plus jeunes tentant de trouver l’astuce. Mais magicien n’est pas qui veut 😉. Encore que, la note d’intention révèlera bien des secrets. Petit plus non négligeable, la patate, en guise de flapbook, en bas de page se met à danser lorsqu’on fait tourner les pages. Coup de cœur pour cet album participatif qui offre une expérience de lecture unique et mémorable. Excellent de A à Z ! » ● Accrocdeslivres : « C’est un album vraiment amusant avec lequel on peut lire et jouer à l’infini car les combinaisons sont nombreuses. En effet, il y a beaucoup de personnages à choisir dans le public. Un livre interactif qui ne pourra que plaire aux plus petits mais aussi au plus grand. Les illustrations sont très simples, tout en aplat, avec très peu de couleur, tout est majoritairement noir et blanc avec une petite pointe de rose comme on le voit sur la couverture. C’est donc très sympa, mais ça fait son office, c’est parfaitement adapté pour les plus petits. En bref, Le livre qui peut lire dans ton esprit est un album interactif que j’ai adoré découvrir. Il plaira aux petits comme aux plus grands tant il est amusant. J’aime beaucoup le concept, que ce soit l’histoire en elle-même avec les tours de magie, et surtout cette séance de mentalisme. Le lecteur est personnellement impliqué, fait participer son public pour tâcher de lire dans ses pensées. Alors, si vous aussi, vous avez envie de bluffer votre entourage et faire du mentalisme, cet album est fait pour vous ! » ●


Le livre qui peut lire dans ton esprit, de Marianna Coppo
Le livre qui peut lire dans ton esprit, de Marianna Coppo

Comme chaque matin, Smita démêle les cheveux de sa fille Lalita. Elle ne les a jamais coupés, en Inde les femmes gardent longtemps leurs cheveux de naissance, parfois toute leur vie. Elle divise la chevelure en trois mèches, qu’elle entrelace pour en faire une tresse. Mais aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. Aujourd’hui, Lalita va entrer à l’école…

Adapté du roman La Tresse de Laetitia Colombani, ce bel album graphique et lumineux nous raconte la traversée de l’Inde de la petite Lalita et de sa maman Smita, nées Dalits, Intouchables. Une formidable histoire de vie, de rébellion, de croyance et d’espoir, magnifiquement mise en images par Clémence Pollet, qui ouvre la réflexion sur les différences sociales, la condition féminine et l’accès à l’éducation.

 

ON EN PARLE ! ● Livrjeun : « Une adaptation très réussie du best-seller de Laetitia Colombani. L’album est magnifiquement illustré : les couleurs sont éclatantes, lumineuses, l’illustratrice joue sur les contrastes avec beaucoup de finesse, les images apportent véritablement dynamisme et optimisme à une histoire réaliste et dure. Les traits des héroïnes sont empreints d’une grande douceur et reflètent bien l’amour qui lie la mère et l’enfant. Derrière le message qui dénonce la discrimination sociale, il y a aussi la force de l’amour maternel qui réussit à faire bouger le monde ! Un album fort, touchant et engagé soutenu par Amnesty International ! » ● Actualitté : « « Cet album expose de manière sensible le sort réservé en Inde aux femmes et fillettes, en particulier quand elles sont issues de basses castes. Une manière aussi de souligner qu’il est crucial de lutter contre les discriminations qui empêchent des milliers de personnes de vivre dignement », indique Amnesty International. Adaptation jeunesse de la partie indienne du best-seller La Tresse, cet album graphique et lumineux raconte la traversée de l’Inde de la petite Lalita et de sa maman Smita, nées Dalits, Intouchables. Une formidable histoire de vie, de rébellion, de croyance et d’espoir, magnifiquement mise en images, qui ouvre la réflexion sur les différences sociales, la condition féminine et l’accès à l’éducation. » ●


La Tresse ou le voyage de Lalita, de Laetitia Colombani & Clémence Pollet
La Tresse ou le voyage de Lalita, de Laetitia Colombani & Clémence Pollet

En 1969, René de Obaldia, membre de l’Académie française, publiait chez Grasset les facétieuses Innocentines. En 1998, Emmanuelle Houdart illustrait, pour Grasset-Jeunesse, une sélection de ces poèmes « pour enfants et quelques adultes » parue sous le titre Moi j’irai dans la lune et autres Innocentines. Les textes comme les illustrations n’ont pas pris une ride. Drôles, grinçantes, fraîches et délicieuses, ces Innocentines illustrées méritaient bien que l’on nettoie un peu leur maquette à l’occasion de leur réimpression.

C’est à présent chose faite !

« Venues comme par enchantement, voici Les Innocentines« Avec ces poèmes dont chacun forme un tout, confie Obaldia, j’ai tenté de restituer l’univers magique des enfants ; non point avec le regard plus ou moins faussé de l’adulte, mais en me situant au cœur du sujet, si je puis dire, dans le moment que la grâce se trouve encore merveilleusement vivante, où les problèmes posés par l’existence toute fraîche : relations avec les parents, la nature, la sexualité, la mort, etc., sont ressentis avec un étonnement permanent et comme autant de charades d’une immense fable. »

La grâce est bien le mot qui convient s’il fallait qualifier cette suite de « Poèmes pour enfants et quelques adultes ». L’invention s’y révèle constante, la drôlerie le dispute à l’émotion.

Depuis 1969, la première édition, le succès des Innocentines ne s’est pas démenti. Les livres de classe en ont retenu les plus avouables (l’innocence n’est pas toujours sûre !), et des bataillons d’écoliers savent aujourd’hui par cœur (leurs mamans aussi !) des poèmes comme La Sologne, Chez moi, Le Secret, Moi j’irai dans la lune, Grand’mère, J’ai trempé mon doigt dans la confiture, Le Zizi perpétuel

Les Innocentines, portées sur les ailes des chérubins, sont, au fil du temps, devenues « un classique. » Extrait de la préface des Innocentines, Les Cahiers rouges, Grasset, 2002.

 

ON EN PARLE ! ● Les Mots de la fin : « Quel charme ils ont, ces poèmes de René Obaldia ! Il suffit de les goûter pour être transporté dans l’air délicieux qui en émane. (…) En osmose, les dessins d’Emmanuelle Houdart épousent et dansent avec les mots du poète, merveilleusement. » ● Fairy Stelphique : « Moi, j’irai dans la lune est un souffle d’air frais dans le rayon Jeunesse, et c’est plaisant à se laisser embarquer sur les vagues de rimes ! Entre les illustrations adorablement rétro et les mots désuets, ce voyage en innocentines, a un petit goût de passé mais reste encore une très belle découverte actuelle, et cette réédition avec sa double couverture est si mignonne… On saute à pieds joints dans l’enfance, ses petites interrogations mutines, cette irrésistible gourmandise et la joie virevoltante : une délicieuse sucrerie dans un petit format de 60 pages. (…) C’est tantôt drôle, et quelques fois impertinent, rétro mais toujours dans le vent. » ●


Moi j’irai dans la lune et autres Innocentines, de René de Obaldia & Emmanuelle Houdart
Moi j’irai dans la lune et autres Innocentines, de René de Obaldia & Emmanuelle Houdart

Depuis la nuit des temps, les chats fascinent, accompagnent, surprennent, rassurent. Au fil de textes littéraires de forme et de style différents se dessine ici une magnifique galerie de chats, qui donne à voir la multiplicité et la magie de ces félins mystérieux. Ces textes sont somptueusement mis en images avec spontanéité et malice par une formidable galerie d’illustratrices et d’illustrateurs contemporains.

Parmi les auteurs : Charles Baudelaire, Guillaume Apollinaire, Edmond Rostand, Jean de la Fontaine, Maurice Carême, Lewis Carroll, Jacques Roubaud, Jules Renard, René de Obaldia…

Pour moitié, les illustratrices et illustrateurs ont déjà collaboré à La Collection : Rébecca Dautremer, Ilya Green, Nathalie Choux, Gérard DuBois, Jean-François Martin, Christophe Merlin ; pour l’autre moitié, ils font déjà partie du catalogue Grasset-Jeunesse : Clémence Pollet, Sandrine Bonini, Alain Pilon, Heng Swee Lim, Maxime Derouen. Tous réunis ici pour une expérience graphique unique !

 

ON EN PARLE ! ● Li&Je : « Malgré la diversité des illustrateurs, il règne une certaine unité dans les images, souvent inspirées d’une tradition plus ancienne de l’illustration, toujours avec une belle qualité d’impression sur beau papier. Quant aux textes, ils font chacun à leur manière l’éloge du chat éternel sous ses divers aspects : attendrissant, inquiétant, comique, et surtout subtil. » ● La mare aux mots, Carole : « Un beau livre à glisser dans la bibliothèque familiale et à ressortir de temps en temps, un chat tendrement blotti sur les genoux. » ● Lu Cie & Co : « Le résultat est formidable, une célébration des chats, de la littérature, de la poésie ici, et de l’illustration en autant de croisements percutants et féconds. » ● CRILJ 31 : « Un très bon point à cette collection qui permet aux enfants dès 8 ans de découvrir des textes patrimoniaux, magnifiés par des tableaux d’artistes contemporains de grand talent. » ● La revue des livres pour enfants : « Un travail réalisé en un délai contraint et avec une palette limitée, constituant une sélection éclectique aux formes et aux époques variées, remarquablement illustrée. » ●


Petits portraits de chats, Collectif
Petits portraits de chats, Collectif

La Baleine, le serpent à deux têtes, le dragon, le phénix, le caméléon, la licorne, le loup, la lucrote… Dans ces extraits du Livre du Trésor de Brunetto Latini, on savoure la façon dont les bestiaires médiévaux mettaient sur le même plan animaux fabuleux et animaux réels, fantastique et scientifique. Ces représentations parfois étranges et qui peuvent nous paraître farfelues révèlent un imaginaire riche et dense. Par ricochet, elles interrogent les nôtres : comment notre imaginaire et notre savoir actuel sera-t-il perçu dans 700 ans ?

Par ses illustrations d’une incroyable finesse, Rébecca Dautremer donne vie à ces textes savoureux écrits dans une langue fluide et précise, pour nous offrir un voyage fabuleux et inoubliable au cœur des légendes et de la pensée du Moyen-Âge.

 

ON EN PARLE ! ● Croqulivre : « Ce bestiaire se lit et se relit avec plaisir et c’est avec, au mieux émerveillement, au pire plaisir, que l’on découvre page après page le fabuleux travail artistique porté par une maison d’édition toujours plus ambitieuse dans ces choix de publications.  On aime et on adore !  Coup de cœur. » ● La Fabrique du monde, librairie à Houdan : « C’est étrange, farfelu mais tellement beau !😊 » ● Librairie le Failler à Rennes : « Le livre du trésor est une plongée délicate et loufoque dans les pensées et les idées du Moyen-Âge. Entre créatures réelles et fantastiques, vous croiserez le serpent à deux têtes, le caméléon ou encore … la lucrote ? » ● Les Mots de la fin : « Que j’aime cette Collection de titres qui puise dans la littérature classique, et brandit avec élégance et audace cet héritage, l’offrant au regard juste et sensible d’un illustrateur contemporain ! (…) Au fil des pages, on se promène parmi une faune étonnante et bascule tantôt dans la réalité tantôt dans l’imaginaire. Finement, l’illustratrice fait jaillir des clairs-obscurs, des bleus ciels, des rouges écarlates, des beiges lumineux, des yeux expressifs, des attitudes tour à tour impétueuses majestueuses poignantes. On glisse sans cesse par-delà la lisière du réel et du fantastique : du serpent à deux têtes à la cigogne, du dragon à la fourmi, de la licorne au loup, du caméléon au phénix au singe, de la lucrote à la baleine… et vice et versa. Un voyage entre monstres et merveilles. » ●


Le Livre du trésor, Brunetto Latini & Rébecca Dautremer
Le Livre du trésor, Brunetto Latini & Rébecca Dautremer