Dans L’Oncle Locamus, nous reprenons l’aventure familiale là où nous l’avions laissée. Sur fond de guerre franco-prussienne, le petit George grandit, ballotté de pensions en internats, entre un père absent et une mère distante. Etouffant dans le carcan bourgeois, il se voue très vite à la peinture. A Paris, il fréquente les ateliers, où il rencontre Verlaine, Degas, Maillol... Lors de vacances dans le Sud, il rencontre celle qui sera la mère d’Henry, Amélie, une jeune femme envoûtante et fragile, déjà durement éprouvée par la vie. Fresque d’une époque placée sous le signe de l’art, le deuxième volet de L’Envers de l’aventure est marqué par la figure tutélaire de l’oncle Locamus, musicien génial, humble dilettante et âme noble.