En 1978, Françoise Giroud participe à l’emblématique collection « Ce que je crois » chez Grasset. Comme ses illustres prédécesseurs, Mauriac, Malraux, Senghor, la co-fondatrice de L’Express et militante féministe se livre à l’exercice sans détours, abordant les questions de la foi, du bonheur, du sens de la vie et de l’Histoire, sans omettre la question féminine, l’un des grands engagements de sa vie. En résulte un récit passionnant, plein de brio et d’ironie.
Avec pudeur, Françoise Giroud parsème cette promenade métaphysique d’éléments issus de son histoire personnelle : de son enfance marquée par la mort de son père aux premières révoltes de l’adolescence face à l’absurdité des dogmes religieux. Ne s’attardant cependant pas sur le passé, elle adopte une approche prospective et dessine, à partir des données de la science et des grandes tendances idéologiques de son temps, le portrait-robot de l’avenir qui se préparait alors. Elle fait montre d’une grande prescience ainsi que d’une impressionnante rigueur intellectuelle, capable de mettre les idéologues et vendeurs d’absolus face aux conséquences de leurs doctrines. Une Parisienne ouverte au monde.
Avec pudeur, Françoise Giroud parsème cette promenade métaphysique d’éléments issus de son histoire personnelle : de son enfance marquée par la mort de son père aux premières révoltes de l’adolescence face à l’absurdité des dogmes religieux. Ne s’attardant cependant pas sur le passé, elle adopte une approche prospective et dessine, à partir des données de la science et des grandes tendances idéologiques de son temps, le portrait-robot de l’avenir qui se préparait alors. Elle fait montre d’une grande prescience ainsi que d’une impressionnante rigueur intellectuelle, capable de mettre les idéologues et vendeurs d’absolus face aux conséquences de leurs doctrines. Une Parisienne ouverte au monde.