Jeanne de Berg, cela sonne comme un pseudonyme.
Les uns disent qu'il s'agit d'une résurgence de Jean de Berg. Les autres ne disent rien ou alors, s'ils sont curieux : " Qui est Jean de Berg ? " Réponse : l'auteur d'une fiction érotique, l'Image, parue aux Éditions de Minuit, immédiatement interdite par la censure de l'époque et qui, depuis lors, a largement dépassé le cercle des initiés.
Les uns disent que, sous ce nom, se cache la femme d'un écrivain connu. Les autres ne disent rien ou alors, s'ils sont curieux : " Connu ? Qui est-ce ? Réponse : pourquoi prendre un pseudonyme sur la page de couverture si c'est pour le dévoiler au dos du livre ?
Mais, au fait, pourquoi un pseudonyme au moment où, pense-t-on, " les femmes osent tout dire " ? Par go-t du masque, sans doute. Probablement aussi, puisqu'il n'est plus question ici de fiction, pour ne pas mêler ce nom connu à ce qui ne le concerne que par le biais de la confidence. Mais, plus encore, dans le dessein de pouvoir continuer à mener double jeu ; être cela : "Jeanne, la grande prêtresse du bizarre " (selon un chroniqueur de la vie parisienne), et rester par ailleurs ce que je ne suis pas tout à fait : une petite dame effacée.
J. de B.
Les uns disent qu'il s'agit d'une résurgence de Jean de Berg. Les autres ne disent rien ou alors, s'ils sont curieux : " Qui est Jean de Berg ? " Réponse : l'auteur d'une fiction érotique, l'Image, parue aux Éditions de Minuit, immédiatement interdite par la censure de l'époque et qui, depuis lors, a largement dépassé le cercle des initiés.
Les uns disent que, sous ce nom, se cache la femme d'un écrivain connu. Les autres ne disent rien ou alors, s'ils sont curieux : " Connu ? Qui est-ce ? Réponse : pourquoi prendre un pseudonyme sur la page de couverture si c'est pour le dévoiler au dos du livre ?
Mais, au fait, pourquoi un pseudonyme au moment où, pense-t-on, " les femmes osent tout dire " ? Par go-t du masque, sans doute. Probablement aussi, puisqu'il n'est plus question ici de fiction, pour ne pas mêler ce nom connu à ce qui ne le concerne que par le biais de la confidence. Mais, plus encore, dans le dessein de pouvoir continuer à mener double jeu ; être cela : "Jeanne, la grande prêtresse du bizarre " (selon un chroniqueur de la vie parisienne), et rester par ailleurs ce que je ne suis pas tout à fait : une petite dame effacée.
J. de B.