Ada est une danseuse. Elle a passé sa vie à rechercher la grâce, la précision du geste. Lorsqu’elle met au monde Daria, rien ne l’avait préparée à devenir la mère de cette enfant sévèrement handicapée qui jamais ne pourra voir ni marcher. Elle commence alors à écrire et penser cet amour hors du commun qui la lie à sa fille. À raconter Daria. Celle-ci devient progressivement « D’aria », « d’air », si légère qu’on pourrait la croire étrangère à la force de gravité. Une dizaine d’années plus tard, Ada découvre qu’elle-même est malade. Qu’elle ne survivra peut-être pas à sa fille. Et tandis qu’elle doit se soigner, que les maux de l’une deviennent les maux de l’autre, le corps se fait là encore, dans un ultime mouvement, lieu de transmission et de reconnaissance entre mère et fille…
Bouleversante adresse à son enfant, Daria est un texte d’une beauté, d’une précision et d’une puissance inouïes. Publié par une petite maison indépendante en Italie, le livre a d’abord conquis les lecteurs avant d’être acclamé par la critique et récompensé par une dizaine de prix dont le prestigieux Premio Strega. Un joyau de délicatesse dans lequel l’amour ne demande jamais de comptes à la douleur.
« En lisant ce livre, j’ai appris que le pouvoir de la littérature était de rendre la souffrance supportable. » Francesco Piccolo, La Repubblica
Traduit de l’italien par Nathalie Bauer
Bouleversante adresse à son enfant, Daria est un texte d’une beauté, d’une précision et d’une puissance inouïes. Publié par une petite maison indépendante en Italie, le livre a d’abord conquis les lecteurs avant d’être acclamé par la critique et récompensé par une dizaine de prix dont le prestigieux Premio Strega. Un joyau de délicatesse dans lequel l’amour ne demande jamais de comptes à la douleur.
« En lisant ce livre, j’ai appris que le pouvoir de la littérature était de rendre la souffrance supportable. » Francesco Piccolo, La Repubblica
Traduit de l’italien par Nathalie Bauer