Voici le livre le plus personnel de Clémentine Mélois. Tout part de la lecture. « D’abord, j’ouvre le livre en grand et je colle mon nez au milieu des pages pour les respirer. » C’est pour mieux s’imprégner de ses auteurs préférés, Simenon, Perec, Tolkien, à partir de ce qui peut paraître le plus insignifiant chez eux : les détails. Comment se fait-il que, entrant dans un Maigret, les phrases « - Bonjour Janvier. – Bonjour, patron » font que nous sommes déjà dans l’histoire, et la tiédeur d’un bureau chauffé au poêle du quai des Orfèvres ? Quel est le rapport entre la vie quotidienne des personnages (une certaine madeleine mangée dans A la recherche du temps perdu) et la nôtre (le cake marbré sous plastique de la station-service de notre enfance) ?
Par des allers-retours entre la vie des personnages et la sienne, Clémentine Mélois nous fait pénétrer au plus près de cette expérience à la fois personnelle et universelle, la lecture. Les souvenirs et les sensations des fictions deviennent les nôtres. Comme si, venus de notre petit monde, nous étions entrés dans un pays plus vaste et pourtant familier. Pendant que, dehors, soufflent les tempêtes, nous vivons dans les livres. Tendre et plein d’humour, Dehors, la tempête nous rappelle que la vie dans les livres est la plus savoureuse de toutes.
Par des allers-retours entre la vie des personnages et la sienne, Clémentine Mélois nous fait pénétrer au plus près de cette expérience à la fois personnelle et universelle, la lecture. Les souvenirs et les sensations des fictions deviennent les nôtres. Comme si, venus de notre petit monde, nous étions entrés dans un pays plus vaste et pourtant familier. Pendant que, dehors, soufflent les tempêtes, nous vivons dans les livres. Tendre et plein d’humour, Dehors, la tempête nous rappelle que la vie dans les livres est la plus savoureuse de toutes.