En quatre « feuilles », chacun de ces écrivains montre comment la rêverie prend forme et devient poème, musique, œuvre d’art. On pourrait demander aux philosophes athées : « S’il n’y a rien que le néant comme vous l’affirmez, que deviennent selon vous l’art et la beauté ? N’ont-ils pas d’existence et comment se fait-il que les poètes et les artistes de toutes les époques aient cru à ce qui n’est pour vous que fantasme, imposture et illusion ? » C’est à cette question majeure que répond Farouche à quatre feuilles. Préface de Marcel Schneider.