Harold Pinter (1930-2008), prix Nobel de littérature 2005, est un des plus grands dramaturges du XXe siècle. Né dans une famille juive de l’Est de Londres, fils d’un tailleur pour hommes, élevé dans un quartier pauvre et populaire, il est devenu une célébrité mondiale par la seule force de son talent.
En janvier 1975, il rencontre la fameuse biographe Antonia Fraser (Marie-Antoinette, 2001), éminente membre de l’aristocratie britannique. Ce coup de foudre les entrainera en effet à quitter leurs conjoints respectifs. A l’âge de onze ans, Natasha Fraser, voit sa vie bouleversée par l’arrivée dans sa famille de ce génie. Elevée dans « les meilleures écoles », apprenant à « bien se tenir », elle découvre qu’une autre vie existe, consacrée à l’art.
Dans la garde-robe d’Harold Pinter, c’était le noir qui dominait. Et pourtant, il n’écrivait ses chefs-d’œuvre que sur des grandes feuilles de couleur paille. Sportif, il adorait tout de blanc vêtu, jouer au cricket. Sa Mercedes décapotable couleur argent éclipsait toutes les autres. Et il y avait surtout la magie du théâtre : le regarder absorber le déroulement d’une pièce, c’était regarder quelqu’un qui embrassait toute la scène à 360°.
Un Pinter intime comme on ne l’avait jamais montré, dans cette première édition mondiale. Un récit émouvant, drôle, édifiant, qui donne envie d’aimer encore plus l’auteur de L’anniversaire.
Traduit de l’anglais par François Rosso.
En janvier 1975, il rencontre la fameuse biographe Antonia Fraser (Marie-Antoinette, 2001), éminente membre de l’aristocratie britannique. Ce coup de foudre les entrainera en effet à quitter leurs conjoints respectifs. A l’âge de onze ans, Natasha Fraser, voit sa vie bouleversée par l’arrivée dans sa famille de ce génie. Elevée dans « les meilleures écoles », apprenant à « bien se tenir », elle découvre qu’une autre vie existe, consacrée à l’art.
Dans la garde-robe d’Harold Pinter, c’était le noir qui dominait. Et pourtant, il n’écrivait ses chefs-d’œuvre que sur des grandes feuilles de couleur paille. Sportif, il adorait tout de blanc vêtu, jouer au cricket. Sa Mercedes décapotable couleur argent éclipsait toutes les autres. Et il y avait surtout la magie du théâtre : le regarder absorber le déroulement d’une pièce, c’était regarder quelqu’un qui embrassait toute la scène à 360°.
Un Pinter intime comme on ne l’avait jamais montré, dans cette première édition mondiale. Un récit émouvant, drôle, édifiant, qui donne envie d’aimer encore plus l’auteur de L’anniversaire.
Traduit de l’anglais par François Rosso.