« Guy Sorman est un des meilleurs penseurs libéraux de notre temps. Il est aussi un chroniqueur brillant et persuasif, qui conjugue dans ses articles idées originales et histoires légères, servies par un style ironique au service d’un humour corrosif. »
Le présent volume est une sélection par l’auteur de ses chroniques, pour la grande majorité inédites en français, publiées dans des journaux étrangers durant les trois dernières années.
Elles sont comme autant de lettres persanes envoyées des quatre coins du monde (Singapour, Madrid, Baltimore, Jerusalem, Tokyo, Hangzhou, Yokusa, Stanford, New York, New Delhi…) par un globe-trotter de l’intelligence et un franc-tireur de la pensée dont le propos, décalé par rapport à l’actualité politique hexagonale, décrypte l’événement ou révèle l’anecdote signifiante en les replaçant dans l’histoire longue.
Sa vision de l’Islam, du judaïsme, des technologies modernes, de l’avenir de l’Occident, de la crise des réfugiés, de la mondialisation, de l’économie, du populisme, ses portraits de Ronald Reagan, d’Obama ou de Macron, apportent à notre histoire immédiate hauteur de vue et profondeur de champs.
Lointain descendant d’un Tocqueville en plus accessible, disciple de Raymond Aron en plus optimiste, ami de Jean-François Revel en plus progressiste, Guy Sorman nous livre ici un Journal d’ailleurs profondément libéral et tolérant : il appréhende la manière dont il reste possible de vivre civilement, avec notre diversité, dans un monde imparfait, avec une humanité qui l’est tout autant.
Mario Vargas Llosa
Le présent volume est une sélection par l’auteur de ses chroniques, pour la grande majorité inédites en français, publiées dans des journaux étrangers durant les trois dernières années.
Elles sont comme autant de lettres persanes envoyées des quatre coins du monde (Singapour, Madrid, Baltimore, Jerusalem, Tokyo, Hangzhou, Yokusa, Stanford, New York, New Delhi…) par un globe-trotter de l’intelligence et un franc-tireur de la pensée dont le propos, décalé par rapport à l’actualité politique hexagonale, décrypte l’événement ou révèle l’anecdote signifiante en les replaçant dans l’histoire longue.
Sa vision de l’Islam, du judaïsme, des technologies modernes, de l’avenir de l’Occident, de la crise des réfugiés, de la mondialisation, de l’économie, du populisme, ses portraits de Ronald Reagan, d’Obama ou de Macron, apportent à notre histoire immédiate hauteur de vue et profondeur de champs.
Lointain descendant d’un Tocqueville en plus accessible, disciple de Raymond Aron en plus optimiste, ami de Jean-François Revel en plus progressiste, Guy Sorman nous livre ici un Journal d’ailleurs profondément libéral et tolérant : il appréhende la manière dont il reste possible de vivre civilement, avec notre diversité, dans un monde imparfait, avec une humanité qui l’est tout autant.