"Je ne suis pas celui que vous croyez", disait souvent Cocteau. Ce souci de démystification, on le retrouve en filigrane dans le Journal d'un inconnu (1953) où parlant de l'inspiration, de la mémoire, du temps, de l'amitié, l'auteur nous découvre son vrai visage. Une écriture éblouissante pour une vérité toujours fuyante.