C’est une jeune fille de 21 ans, amoureuse de la vie, jolie, blonde et libre. Anaïs Guillaume.
Dans son petit village de Blagny, à l’orée des Ardennes, elle a des copines, des amis, ses parents et ses frères, et elle accomplit sa passion pour les chevaux en travaillant dans des fermes. C’est ce monde que nous décrit avec talent Mathieu Livoreil : les grandes forêts; la frontière belge, trafics, boîtes de nuit joyeuses et voitures volées ; la vie rurale, assez solitaire, traversée de rumeurs, de routes un peu vides, et nourries par la vie numérique.
Un jour de 2013, après une nuit chez son amant Philippe Gillet, Anaïs ne donne plus de signes de vie. Comptes bancaires figés, communications impossibles. Beaucoup jurent l’avoir aperçue, mais elle est introuvable. La jeune fille passionnée, vive, amoureuse, a disparu.
Gillet, lui, inquiète. Cet agriculteur de 40 ans, puissant physiquement et impitoyable, est hermétique au soupçon qui l’entoure. Un an auparavant, sa femme est morte dans des conditions surprenantes mais les gendarmes ont conclu à un accident. Il semble se moquer d’eux. C’est une énigme aux multiples rebondissements dans laquelle nous entraîne le jeune enquêteur. Il sait tout des lieux qu’il connaît par cœur, des divergences entre magistrats et gendarmes, mais aussi de la vie sentimentale d’Anaïs, des coups portés par Gillet, de la chaux, du fumier… Jusqu’à recevoir une lettre anonyme indiquant où est le corps.
Un récit hors du commun, et un féminicide : en ces pages, Anaïs vit.
Dans son petit village de Blagny, à l’orée des Ardennes, elle a des copines, des amis, ses parents et ses frères, et elle accomplit sa passion pour les chevaux en travaillant dans des fermes. C’est ce monde que nous décrit avec talent Mathieu Livoreil : les grandes forêts; la frontière belge, trafics, boîtes de nuit joyeuses et voitures volées ; la vie rurale, assez solitaire, traversée de rumeurs, de routes un peu vides, et nourries par la vie numérique.
Un jour de 2013, après une nuit chez son amant Philippe Gillet, Anaïs ne donne plus de signes de vie. Comptes bancaires figés, communications impossibles. Beaucoup jurent l’avoir aperçue, mais elle est introuvable. La jeune fille passionnée, vive, amoureuse, a disparu.
Gillet, lui, inquiète. Cet agriculteur de 40 ans, puissant physiquement et impitoyable, est hermétique au soupçon qui l’entoure. Un an auparavant, sa femme est morte dans des conditions surprenantes mais les gendarmes ont conclu à un accident. Il semble se moquer d’eux. C’est une énigme aux multiples rebondissements dans laquelle nous entraîne le jeune enquêteur. Il sait tout des lieux qu’il connaît par cœur, des divergences entre magistrats et gendarmes, mais aussi de la vie sentimentale d’Anaïs, des coups portés par Gillet, de la chaux, du fumier… Jusqu’à recevoir une lettre anonyme indiquant où est le corps.
Un récit hors du commun, et un féminicide : en ces pages, Anaïs vit.