Un écrivain parle de ce qu'il aime : la littérature. Il en profite pour parler de ceux qu'il n'aime pas : les "littérateurs" qui n'en sont que les parasites. Cuistres et technocrates du "commentaire" ont pris peu à peu la place des créateurs dans la vie des lettres. Au lieu de traiter les oeuvres comme un phénomène de société ou une marchandise de foire, il vaut mieux revenir à l'origine de la "vocation littéraire", à ce qu'il y a d'irréductible et de particulier dans chaque oeuvre. Voici un livre de "pratique" et non de théorie où se mêlent réflexions et souvenirs. Un livre d'amour traversé de coups de colère.