Tout le monde se souvient de Bruno Cremer, un des plus célèbres acteurs du cinéma français du XXe siècle. Du Bon et les méchants de Claude Lelouch à Une histoire simple de Claude Sautet et Noces blanche de Jean-Claude. Brisseau, en passant par sa célèbre interprétation du commissaire Maigret à la télévision, il est resté dans la mémoire collective comme l’incarnation de la virilité bienveillante.
Dans ce récit, son fils Stéphane nous raconte tout autre chose. « Qu’est-ce que ça te ferait si ta mère se prostituait ? ». Telle est la question que son père lui a posée, alors qu’il avait treize ans. Et ce n’est là qu’une des multiples cruautés qu’il a eu à subir. « Je ne veux pas tenir le rôle du père », lui a dit l’acteur. Là, il n’a pas menti. L’envers d’une légende.
D’une écriture précise, qui mêle force et humour, lucidité et ironie, sans s’épargner lui-même, Stéphane Cremer nous fait vivre la duplicité d’un homme qui en était un autre, jusque contre son fils.
Dans ce récit, son fils Stéphane nous raconte tout autre chose. « Qu’est-ce que ça te ferait si ta mère se prostituait ? ». Telle est la question que son père lui a posée, alors qu’il avait treize ans. Et ce n’est là qu’une des multiples cruautés qu’il a eu à subir. « Je ne veux pas tenir le rôle du père », lui a dit l’acteur. Là, il n’a pas menti. L’envers d’une légende.
D’une écriture précise, qui mêle force et humour, lucidité et ironie, sans s’épargner lui-même, Stéphane Cremer nous fait vivre la duplicité d’un homme qui en était un autre, jusque contre son fils.