Solvej Balle a passé une vingtaine d’années à travailler sur le chef-d’œuvre de sa vie, Le volume du temps. Ce grand projet de littérature fantastique est rapidement devenu un phénomène au Danemark, puis dans le monde entier. Récompensé par le plus grand prix littéraire des pays nordiques en 2022, le Nordic Council Literature Prize, et traduit dans plus de vingt langues, cette extraordinaire série en sept volumes raconte l’histoire de Tara Selter – pour qui le temps s’est arrêté un 18 novembre.
La sonnerie du portail de la maison de Brême résonne, et bientôt, Tara, Henry, Olga et Ralf se retrouvent face à cinq individus, de l’autre côté de la grille. D’autres viendront. Ils le savent, il s’agit maintenant de s’organiser. Une vraie communauté du 18 novembre se créée avec ses codes, ses habitudes, ses règles. Ses interrogations aussi – alors que les mots qu’ils connaissent ne sont plus suffisamment précis, ne parviennent plus à nommer le monde dans lequel ils vivent, que l’effet du temps commence à se faire sentir sur les corps, les visages. Qu’adviendra-t-il lorsque les ressources viendront à manquer ?
Cela fait six ans qu’ils sont bloqués, et la question se fait plus pressante. Face au nombre croissant de nouveaux venus, une vie spartiate se met en place entre les habitants et les invités, autour de la table du jardin d’hiver ou devant la cheminée du salon, pour prendre part aux discussions qui se veulent aussi pratiques que philosophiques. Tara Selter pense avoir trouvé sa place au sein de cette nouvelle société, jusqu’à ce qu’un coup de fil inattendu la ramène à Clairon…
Avec ce quatrième tome, Solvej Balle révèle plus que jamais la dimension écologique et humanitaire de son extraordinaire projet romanesque qu’est Le volume du temps.
Traduit du danois par Terje Sinding
La sonnerie du portail de la maison de Brême résonne, et bientôt, Tara, Henry, Olga et Ralf se retrouvent face à cinq individus, de l’autre côté de la grille. D’autres viendront. Ils le savent, il s’agit maintenant de s’organiser. Une vraie communauté du 18 novembre se créée avec ses codes, ses habitudes, ses règles. Ses interrogations aussi – alors que les mots qu’ils connaissent ne sont plus suffisamment précis, ne parviennent plus à nommer le monde dans lequel ils vivent, que l’effet du temps commence à se faire sentir sur les corps, les visages. Qu’adviendra-t-il lorsque les ressources viendront à manquer ?
Cela fait six ans qu’ils sont bloqués, et la question se fait plus pressante. Face au nombre croissant de nouveaux venus, une vie spartiate se met en place entre les habitants et les invités, autour de la table du jardin d’hiver ou devant la cheminée du salon, pour prendre part aux discussions qui se veulent aussi pratiques que philosophiques. Tara Selter pense avoir trouvé sa place au sein de cette nouvelle société, jusqu’à ce qu’un coup de fil inattendu la ramène à Clairon…
Avec ce quatrième tome, Solvej Balle révèle plus que jamais la dimension écologique et humanitaire de son extraordinaire projet romanesque qu’est Le volume du temps.
Traduit du danois par Terje Sinding