Le général de Gaulle était droit derrière son bureau Louis XV, sans papiers, sans dossiers, sans téléphone, immobile, les mains posées à plat.
- Joxe, lui-dit le Général, que signifie cette pagaille ? Si ces jeunes gens sont excités, qu’on leur distribue du bromure.
Louis Joxe leva les sourcils :
-Nous avons bon espoir de négocier.
-Négocier ! Avec qui ? Enfin, que le gouvernement gouverne. Je veux Paris calme, propre et net. »
Qui d’autre que Patrick Rambaud, le chroniqueur impertinent des années Sarkozy et Hollande pour nous raconter ce fameux mois de mai 68 ? Un climat, des émotions, des colères et des amours. On suit un groupe d'étudiants, leurs familles, des policiers, des députés, de Gaulle, Pompidou, Georges Séguy, Aragon, Sartre ou Mitterrand. Patrick Rambaud nous entraîne à la Sorbonne, à Nanterre, sur les barricades comme au fond des commissariats, chez les militaires du contingent, au Palais-Bourbon pour un chahut, sous les verrières de Billancourt en grève…
Le ton inimitable de Patrick Rambaud au service de l’Histoire : un roman où tout est vrai.
- Joxe, lui-dit le Général, que signifie cette pagaille ? Si ces jeunes gens sont excités, qu’on leur distribue du bromure.
Louis Joxe leva les sourcils :
-Nous avons bon espoir de négocier.
-Négocier ! Avec qui ? Enfin, que le gouvernement gouverne. Je veux Paris calme, propre et net. »
Qui d’autre que Patrick Rambaud, le chroniqueur impertinent des années Sarkozy et Hollande pour nous raconter ce fameux mois de mai 68 ? Un climat, des émotions, des colères et des amours. On suit un groupe d'étudiants, leurs familles, des policiers, des députés, de Gaulle, Pompidou, Georges Séguy, Aragon, Sartre ou Mitterrand. Patrick Rambaud nous entraîne à la Sorbonne, à Nanterre, sur les barricades comme au fond des commissariats, chez les militaires du contingent, au Palais-Bourbon pour un chahut, sous les verrières de Billancourt en grève…
Le ton inimitable de Patrick Rambaud au service de l’Histoire : un roman où tout est vrai.