Paru pour la première fois en 1932 aux éditions Fasquelle, Pages d’islam réunit vingt nouvelles d’Isabelle Eberhardt. Inspirées de ses séjours au Maroc, en Tunisie et en Algérie, elles forment le portrait d’un Maghreb méconnu et d’une population arabe dont la culture est la dernière arme pour résister à l’oppression coloniale.
Loin des stéréotypes français, l’écrivain crée des personnages marginaux et mystérieux : sorciers guérisseurs, sorcières voleuses de cadavre, mages aux pouvoirs surnaturels, fellahs mafieux… Au-delà de son charme puissant, ce livre est l’éloge d’un peuple qu’Isabelle Eberhardt tenait pour son égal. La religion musulmane, dont elle s’était faite la défenderesse, est décrite à travers des rites familiaux et inoffensifs, loin de sa réputation de violence.
Au-delà de l’aspect documentaire et politique, Pages d’islam est une œuvre littéraire où la féérie le dispute au fantastique. Et le lecteur de retrouver la femme dont Edmonde Charles-Roux, sa biographe, disait qu’elle était « l’incarnation de la grâce et de la volonté ».
Loin des stéréotypes français, l’écrivain crée des personnages marginaux et mystérieux : sorciers guérisseurs, sorcières voleuses de cadavre, mages aux pouvoirs surnaturels, fellahs mafieux… Au-delà de son charme puissant, ce livre est l’éloge d’un peuple qu’Isabelle Eberhardt tenait pour son égal. La religion musulmane, dont elle s’était faite la défenderesse, est décrite à travers des rites familiaux et inoffensifs, loin de sa réputation de violence.
Au-delà de l’aspect documentaire et politique, Pages d’islam est une œuvre littéraire où la féérie le dispute au fantastique. Et le lecteur de retrouver la femme dont Edmonde Charles-Roux, sa biographe, disait qu’elle était « l’incarnation de la grâce et de la volonté ».