Un matin de l’hiver 2012, Philippe Brunel est réveillé par le téléphone. Un mystérieux correspondant dit avoir des « informations à lui vendre ». L’homme est un ami d’Istvan Varjas, un physicien hongrois, concepteur des vélos à moteur que le narrateur était allé interviewer à l’aéroport de Bâle, un an plus tôt. Que fuyait-il ? Pourquoi avait-il quitté la Suisse pour le Cameroun ? Fallait-il le croire lorsqu’il affirmait avoir vendu son premier prototype deux millions de dollars ?
De Paris à Budapest, de Bruges aux lointains recoins de la Toscane, l’auteur se laisse entraîner dans une histoire à tiroirs sur fond de triche technologique et d’enjeux financiers opaque. Ce livre détoure les ombres d’un arrière-monde impénétrable, où gravitent des personnages un peu louches, des intermédiaires à l’abri du secret bancaire, des icônes du cyclisme obsédées par l’argent et par la réussite – un arrière-monde hanté par le spectre de Lance Armstrong. Avec en contrepoint, cette question : dans ses visées hégémoniques, l’ancien champion texan avait-il lui aussi, croisé la route d’Istvan Varjas ?
Une enquête hors du commun sur les traces du moteur invisible et de son concepteur, Istvan Varjas, qui confia un jour à Philippe Brunel : « Je voulais juste te dire… Si demain, tu apprends que j’ai eu un accident ou que je me suis suicidé, n’en crois rien. »
De Paris à Budapest, de Bruges aux lointains recoins de la Toscane, l’auteur se laisse entraîner dans une histoire à tiroirs sur fond de triche technologique et d’enjeux financiers opaque. Ce livre détoure les ombres d’un arrière-monde impénétrable, où gravitent des personnages un peu louches, des intermédiaires à l’abri du secret bancaire, des icônes du cyclisme obsédées par l’argent et par la réussite – un arrière-monde hanté par le spectre de Lance Armstrong. Avec en contrepoint, cette question : dans ses visées hégémoniques, l’ancien champion texan avait-il lui aussi, croisé la route d’Istvan Varjas ?
Une enquête hors du commun sur les traces du moteur invisible et de son concepteur, Istvan Varjas, qui confia un jour à Philippe Brunel : « Je voulais juste te dire… Si demain, tu apprends que j’ai eu un accident ou que je me suis suicidé, n’en crois rien. »