Avec {Bergère ô tour Eiffel}, Claude Mauriac poursuit sa quête de reflets et de concordances ; il élargit encore un peu plus le champ de ses investigations à mesure que les années coulent, comme se propage une onde à la surface de ses eaux. Sa quête s'arrête surtout, cette fois-ci, à la période de l'Occupation et aux plus récents événements traquant les liens secrets qui les unissent, à quarante ans de distance.
A l'heure des partages, des renoncements, des maisons qu'on abandonne et des amis qui vous quittent, nombreuses sont les ombres qui surgissent de ce montage mélancolique et minutieux. Elles se nomment ici Cocteau, Jouhandeau, Georges Auric, Chardonne, Jean Prévost, t'Serstevens, Duhamel, compagnons parmi d'autres de cette merveilleuse promenade sans fin, qui ruse avec le temps et rend aux passés divers la frémissante vérité d'un éternel présent.
A l'heure des partages, des renoncements, des maisons qu'on abandonne et des amis qui vous quittent, nombreuses sont les ombres qui surgissent de ce montage mélancolique et minutieux. Elles se nomment ici Cocteau, Jouhandeau, Georges Auric, Chardonne, Jean Prévost, t'Serstevens, Duhamel, compagnons parmi d'autres de cette merveilleuse promenade sans fin, qui ruse avec le temps et rend aux passés divers la frémissante vérité d'un éternel présent.