Les vedettes ne manquent pas dans le nouvel ouvrage de Jacques Brenner : de Goethe correspondant de guerre à Ernst Jünger, le Solitaire, de Melville à Henry James et à Stevenson, de Faulkner à Dashiell Hammett, d'Anderson à Borges, de Mishima à Milan Kundera... Toutefois, il ne s'agit nullement d'un survol de la littérature universelle. Plus modestement, l'auteur, au hasard de ses lectures, nous propose des "réflexions sur quelques points de littérature et de morale", dans la tradition de son maître André Gide.