Est-il permis de rire d’une tragédie ? Pour Clémentine Mélois, la réponse est oui. Pendant les deux mois du confinement entraîné par le Covid-19, au jour le jour, elle a fixé en images pleines d’humour et de poésie ses réactions face à l’actualité baroque de ce moment qui s’est cru scientifique.
Fameuse pour ses irrésistibles détournements de couvertures des classiques de la littérature revus et passés à la moulinette de la culture pop (Cent titres, Grasset 2014), la plasticienne et écrivaine nous livre une chronique irrésistible. On y rencontrera, entre autres, un Laurent Delahousse en détresse capillaire, un paquet de chewing-gums goût chloroquine, un ticket de concert pour assister au discours télévisé d’Emmanuel Macron ou un vinyle du célèbre Alain Gestes Barrière…
Drôle et décalé, inquiet et parfois mordant, tendre et toujours désopilant, ce Bon pour un jour de légèreté nous rappelle que l’humour est la meilleure façon de rapprocher les êtres humains en ne mettant à distance que l’angoisse !
Fameuse pour ses irrésistibles détournements de couvertures des classiques de la littérature revus et passés à la moulinette de la culture pop (Cent titres, Grasset 2014), la plasticienne et écrivaine nous livre une chronique irrésistible. On y rencontrera, entre autres, un Laurent Delahousse en détresse capillaire, un paquet de chewing-gums goût chloroquine, un ticket de concert pour assister au discours télévisé d’Emmanuel Macron ou un vinyle du célèbre Alain Gestes Barrière…
Drôle et décalé, inquiet et parfois mordant, tendre et toujours désopilant, ce Bon pour un jour de légèreté nous rappelle que l’humour est la meilleure façon de rapprocher les êtres humains en ne mettant à distance que l’angoisse !