« Le manuel de l’esclavage, c’est un peu la Convention de Genève du djihadisme, écrite par une génération qui croit vivre dans l’Arabie du viie siècle tout en regardant Game of Thrones, où les scènes de bordels servent d’intermèdes aux décapitations… Esclave de douze maîtres, vendue et revendue de Qaraqosh en Irak à Raqqa en Syrie, l’histoire de Marie dessine la géographie de l’État islamique. Et sa théologie : tous les péchés des hommes se sont incarnés dans son corps de femme… »
Marie nous a confié son histoire : elle a exigé que tout soit raconté, que rien ne soit omis. Son récit bouleversant est celui d’une chrétienne capturée par les djihadistes, qui veut vivre, qui se bat, qui refuse de se laisser briser par la bestialité des hommes. Et celui de la victime, souillée, torturée, violentée, qui découvre finalement comment on est accueilli par les siens quand on revient de l’enfer.
Ce livre montre les exactions commises au nom de la charia. Il oblige à voir comment les fondamentalistes, qui n’ont d’yeux que pour les vierges du Paradis, transforment les femmes en putains.
Dans la presse
« La qualité littéraire de ce livre, la palette de registres qu’il met en œuvre dans une sorte de vision kaléidoscopique, réussissent le tour de force de sonder l’abime, avec une sobriété qui déjoue tout voyeurisme » La Libre Belgique
« C’est un appel au bord du bordel et de l’abîme. On y entend rouler l’écho des contes des premiers chrétiens, murmurer la consolation araméenne et hurler l’épouvante génocidaire. Une histoire à mettre entre toutes les mains, surtout celles qui font le signe de la dénégation face au fascisme islamiste. » Marianne
« Du bout du monde, la « putain du Califat » veut qu’on relaye ce message qu’elle demande en boucle depuis cinq ans. « j’espère que les Nations Unies soutiendront ma cause et la porteront devant la Cour internationale de justice. J’en ai besoin pour retrouver ma dignité, réclame-t-elle » ELLE
« Ce document fruit d’un travail de plusieurs années est aussi précieux que terrible. Il retrace, la montée du fondamentalisme islamique et le sort des chrétiens d’orient. Leurs voix enfin libérées de l’ombre de l’indifférence, irriguent ce récit quasi littéraire écrit à quatre mains » l’Express
« Ce récit poignant propose une réflexion profonde sur la religion, la foi et Dieu, qui interroge l’Islam comme la chrétienté » Femme Actuelle
« Ce récit bouleversant sur la condition des esclaves de Daesh ou tous les péchés des hommes se trouvent incarnés dans ce corps de femme » Le Canard Enchaîné
Marie nous a confié son histoire : elle a exigé que tout soit raconté, que rien ne soit omis. Son récit bouleversant est celui d’une chrétienne capturée par les djihadistes, qui veut vivre, qui se bat, qui refuse de se laisser briser par la bestialité des hommes. Et celui de la victime, souillée, torturée, violentée, qui découvre finalement comment on est accueilli par les siens quand on revient de l’enfer.
Ce livre montre les exactions commises au nom de la charia. Il oblige à voir comment les fondamentalistes, qui n’ont d’yeux que pour les vierges du Paradis, transforment les femmes en putains.
Dans la presse
« La qualité littéraire de ce livre, la palette de registres qu’il met en œuvre dans une sorte de vision kaléidoscopique, réussissent le tour de force de sonder l’abime, avec une sobriété qui déjoue tout voyeurisme » La Libre Belgique
« C’est un appel au bord du bordel et de l’abîme. On y entend rouler l’écho des contes des premiers chrétiens, murmurer la consolation araméenne et hurler l’épouvante génocidaire. Une histoire à mettre entre toutes les mains, surtout celles qui font le signe de la dénégation face au fascisme islamiste. » Marianne
« Du bout du monde, la « putain du Califat » veut qu’on relaye ce message qu’elle demande en boucle depuis cinq ans. « j’espère que les Nations Unies soutiendront ma cause et la porteront devant la Cour internationale de justice. J’en ai besoin pour retrouver ma dignité, réclame-t-elle » ELLE
« Ce document fruit d’un travail de plusieurs années est aussi précieux que terrible. Il retrace, la montée du fondamentalisme islamique et le sort des chrétiens d’orient. Leurs voix enfin libérées de l’ombre de l’indifférence, irriguent ce récit quasi littéraire écrit à quatre mains » l’Express
« Ce récit poignant propose une réflexion profonde sur la religion, la foi et Dieu, qui interroge l’Islam comme la chrétienté » Femme Actuelle
« Ce récit bouleversant sur la condition des esclaves de Daesh ou tous les péchés des hommes se trouvent incarnés dans ce corps de femme » Le Canard Enchaîné