Et si derrière la mort de Spinoza se cachait, non une santé fragile, mais un assassinat ? Quand Baruch Spinoza s’éteint à seulement 44 ans, en 1677, à La Haye, il laisse dernière lui une œuvre philosophique révolutionnaire mais aussi des énigmes. Qui est cette mystérieuse personne qui lui a rendu visite le jour de sa mort ? Et pourquoi des lettres et des manuscrits inédits ont-ils disparu de son secrétaire ? A qui donc profite le crime de cette mort étrange ? Catholiques, protestants, monarchistes, juifs, adversaires théoriques, Français, Hollandais… de son vivant, le philosophe ne manquait pas d’ennemis.
Nous voici plongés dans la Hollande du XVIIe siècle, carrefour de tous les savoirs et du commerce, terre de paix et de tolérance où Juifs, catholiques et protestants pratiquent librement leur culte. Mais l’équilibre est fragile et les passions nombreuses. On se méfie de Spinoza, trop libre, inclassable. Sa philosophie dérange autant qu’elle fascine, en cette époque où les guerres de religion déchirent l’Europe : Dieu n’est pas une personne mais la Nature. Il n’y a ni providence, ni miracles, ni paradis, ni enfer, ni immortalité de l’âme. Autant de propositions qui défient l’ordre social et céleste. Du sommet de l’État au presbytère en passant par la Synagogue et les cercles de pensée concurrents, tout conspire, en secret, pour faire taire ce génie séditieux.
Dans ce thriller philosophique et historique d’une grande exactitude, Jean-François Bensahel nous fait marcher dans les traces de Spinoza, à travers les complots et les mystères d’une Europe à feu et à sang, où les querelles d’idées sont souvent les plus meurtrières. Un roman incisif et haletant.
Nous voici plongés dans la Hollande du XVIIe siècle, carrefour de tous les savoirs et du commerce, terre de paix et de tolérance où Juifs, catholiques et protestants pratiquent librement leur culte. Mais l’équilibre est fragile et les passions nombreuses. On se méfie de Spinoza, trop libre, inclassable. Sa philosophie dérange autant qu’elle fascine, en cette époque où les guerres de religion déchirent l’Europe : Dieu n’est pas une personne mais la Nature. Il n’y a ni providence, ni miracles, ni paradis, ni enfer, ni immortalité de l’âme. Autant de propositions qui défient l’ordre social et céleste. Du sommet de l’État au presbytère en passant par la Synagogue et les cercles de pensée concurrents, tout conspire, en secret, pour faire taire ce génie séditieux.
Dans ce thriller philosophique et historique d’une grande exactitude, Jean-François Bensahel nous fait marcher dans les traces de Spinoza, à travers les complots et les mystères d’une Europe à feu et à sang, où les querelles d’idées sont souvent les plus meurtrières. Un roman incisif et haletant.