« La première fois que Sofiane est entré dans ma salle de classe, j’ai tout de suite compris qu'il était maître en son royaume. »
C’est l’hiver. Jeune enseignante mutée à Garges-lès-Gonesse, Norah Baume s'ennuie. Bien sûr, il y a Paul, le chat, le vin, Venise, la peinture et les songes, mais ça n’est pas assez. Alors, au fond de la classe, une perspective : Sofiane, première technologique. Survêtement, beau visage, insolence. Un lien se tisse. Jusqu’au jour où, hantée par le désir de transgression, Norah prend la fuite. C’est le printemps. Sur les quais du Vieux-Port de Marseille, elle croise Freddy, figure de son enfance, et découvre avec lui un univers interlope, des deals, des squats, une jeunesse masculine qui clope sur les plages. Le soleil brûle déjà. C’est bientôt l’été. Norah est seule, elle rêve : sur le pont du ferry pour Alger, la mer s’ouvre, la ville blanche apparaît, ultime ailleurs…
La tentative d’évasion d’une femme en quête d’elle-même, libre et romantique, indécise et passionnée. Dans une langue d’une puissante tension charnelle, Lou Kanche dit l’incertitude de l’époque et de la jeunesse, le vertige de l’impossible, les contradictions entre confort et attrait des lointains. Norah Baume ou la puissance du désir, qui contient toutes les échappées possibles, tous les rêves et toutes les sensations nouvelles.
C’est l’hiver. Jeune enseignante mutée à Garges-lès-Gonesse, Norah Baume s'ennuie. Bien sûr, il y a Paul, le chat, le vin, Venise, la peinture et les songes, mais ça n’est pas assez. Alors, au fond de la classe, une perspective : Sofiane, première technologique. Survêtement, beau visage, insolence. Un lien se tisse. Jusqu’au jour où, hantée par le désir de transgression, Norah prend la fuite. C’est le printemps. Sur les quais du Vieux-Port de Marseille, elle croise Freddy, figure de son enfance, et découvre avec lui un univers interlope, des deals, des squats, une jeunesse masculine qui clope sur les plages. Le soleil brûle déjà. C’est bientôt l’été. Norah est seule, elle rêve : sur le pont du ferry pour Alger, la mer s’ouvre, la ville blanche apparaît, ultime ailleurs…
La tentative d’évasion d’une femme en quête d’elle-même, libre et romantique, indécise et passionnée. Dans une langue d’une puissante tension charnelle, Lou Kanche dit l’incertitude de l’époque et de la jeunesse, le vertige de l’impossible, les contradictions entre confort et attrait des lointains. Norah Baume ou la puissance du désir, qui contient toutes les échappées possibles, tous les rêves et toutes les sensations nouvelles.