Les paparazzi ont mauvaise réputation : ils sont curieux, trop curieux, violent les intimités, vendraient (cher) leur âme pour un scoop, et s’amusent à montrer ce qui ne devrait pas être vu. Voici donc les « mémoires » de l’un d’entre eux, Pascal Rostain, le « King » d’une profession dont on médit volontiers – tout en se rinçant l’œil. De Johnny Halliday à François Mitterrand, de Jean-Paul II à François Hollande, d’Orson Welles à Marlon Brando, de Nicolas Sarkozy à George W. Bush, de Carla à Valérie, ce Breton opiniâtre à tout « shooté » : le secret, l’indicible, l’idylle, les seins – et le reste. Ses clichés, publiés dans Paris Match, ont fait le tour du monde. Pour la première fois, il passe derrière son objectif. Et il raconte…